au service de l'Ordre
au service de la Province
en communauté à Paris
qui nous ont quittés
étudiants étrangers
Au regard de...
Concerts à la chapelle
Devenir Franciscain
Histoire : Les saints frères qui illustrèrent notre province
Homélies
Pèlerinages Franciscains
Texte pour aujourd'hui
Visite de la chapelle
Bibliotheque
Cours et Conférences
Ecole Franciscaine de Paris
Liturgie et prière
10447331 visiteurs
8 visiteurs en ligne
Sommaire
1 La joie d’exister
2 La joie de suivre le Christ et de vivre selon son évangile
3 Joie d’imiter le Christ
4 La joie que ne ternissent pas les épreuves, les échecs et les contradictions.
5 La joie qui naît de la certitude de l’amour de Dieu pour nous
La joie d’exister
Dès sa jeunesse, François est un homme comblé : une famille aisée, un pays agréable, une adolescence pleine de rêves et de promesses, des camarades qui l’admirent et bénéficient de ses largesses, un tempérament heureux, des dons poétiques... tout semblait lui réussir. Même la défaite et la captivité ne parviennent pas à l’attrister. Dans les prisons de Pérouse, il chante et affirme sa foi en un avenir brillant. Mais après sa libération, la maladie et la mélancolie lui apprennent la fragilité des joies terrestres.
La joie de suivre le Christ et de vivre selon son évangile
Après les diverses épreuves et étapes de sa conversion, François découvre une autre joie : celle de s’être libéré des attaches terrestres, pour pouvoir suivre Jésus-Christ. Il écrira plus tard : Cf. Testament de Saint François : quand j’étais dans un état de péché, il me semblait très amer de voir des lépreux, mais le Seigneur me conduisit parmi eux, et j’exerçais la miséricorde à leur égard ; et au retour, ce qui m’avait semblé amer s’était changé pour moi en douceur pour l’esprit et pour le corps. - Quand il fut agressé par des gredins et roulé dans un fossé, il se relève et chante joyeux : je suis le héraut du grand roi ! (cf. Celano, Vita 1a, 7, 16).
Joie d’imiter le Christ
(Cf. Celano, Vita 2a, 17) ; la joie est la meilleure défense contre le démon (Vita 2a, 125) ; la joie du bien que le Seigneur opère dans les autres ; et surtout la joie paisible de ceux qui se savent fils du Très-Haut ; du devoir enfin d’être joyeux en communauté : Que les frères aient bien soin de ne pas affecter un air sombre, une tristesse hypocrite ; mais qu’ils se montrent joyeux dans le Seigneur, gais, aimables et gracieux comme il convient.(cf. 1 Reg 7,16 ; et aussi Celano Vita 2a, 128)
La joie que ne ternissent pas les épreuves, les échecs et les contradictions.
Car la source profonde de la joie est la présence consolante du Christ, l’opération transformante de l’Esprit-Saint. La joie est un « fruit de l’Esprit » (Ga 5. 23). C’est pourquoi François conserva cette joie malgré les épreuves et les contradictions.- Le récit des Fioretti qui parle de la joie parfaite veut donner cet enseignement, sous forme d’une parabole. Cf Fioretti, ch. 8 : si nous supportons toutes ces épreuves, patiemment et avec allégresse, en pensant aux souffrances du Christ béni, que nous devons supporter pour son amour, ô frère Léon, écris qu'en cela est la joie parfaite.
La joie qui naît de la certitude de l’amour de Dieu pour nous
et de la promesse du Salut. L’Esprit lui-même se joint à notre esprit pour attester que nous sommes enfants de Dieu. Enfants, donc héritiers ; héritiers de Dieu et cohéritiers du Christ, si toutefois nous souffrons avec lui pour être glorifiés avec lui. (Rm 8, 16).
Sommaire
1 La joie d’exister
2 La joie de suivre le Christ et de vivre selon son évangile
3 Joie d’imiter le Christ
4 La joie que ne ternissent pas les épreuves, les échecs et les contradictions.
5 La joie qui naît de la certitude de l’amour de Dieu pour nous
La joie d’exister
Dès sa jeunesse, François est un homme comblé : une famille aisée, un pays agréable, une adolescence pleine de rêves et de promesses, des camarades qui l’admirent et bénéficient de ses largesses, un tempérament heureux, des dons poétiques... tout semblait lui réussir. Même la défaite et la captivité ne parviennent pas à l’attrister. Dans les prisons de Pérouse, il chante et affirme sa foi en un avenir brillant. Mais après sa libération, la maladie et la mélancolie lui apprennent la fragilité des joies terrestres.
La joie de suivre le Christ et de vivre selon son évangile
Après les diverses épreuves et étapes de sa conversion, François découvre une autre joie : celle de s’être libéré des attaches terrestres, pour pouvoir suivre Jésus-Christ. Il écrira plus tard : Cf. Testament de Saint François : quand j’étais dans un état de péché, il me semblait très amer de voir des lépreux, mais le Seigneur me conduisit parmi eux, et j’exerçais la miséricorde à leur égard ; et au retour, ce qui m’avait semblé amer s’était changé pour moi en douceur pour l’esprit et pour le corps. - Quand il fut agressé par des gredins et roulé dans un fossé, il se relève et chante joyeux : je suis le héraut du grand roi ! (cf. Celano, Vita 1a, 7, 16).
Joie d’imiter le Christ
(Cf. Celano, Vita 2a, 17) ; la joie est la meilleure défense contre le démon (Vita 2a, 125) ; la joie du bien que le Seigneur opère dans les autres ; et surtout la joie paisible de ceux qui se savent fils du Très-Haut ; du devoir enfin d’être joyeux en communauté : Que les frères aient bien soin de ne pas affecter un air sombre, une tristesse hypocrite ; mais qu’ils se montrent joyeux dans le Seigneur, gais, aimables et gracieux comme il convient.(cf. 1 Reg 7,16 ; et aussi Celano Vita 2a, 128)
La joie que ne ternissent pas les épreuves, les échecs et les contradictions.
Car la source profonde de la joie est la présence consolante du Christ, l’opération transformante de l’Esprit-Saint. La joie est un « fruit de l’Esprit » (Ga 5. 23). C’est pourquoi François conserva cette joie malgré les épreuves et les contradictions.- Le récit des Fioretti qui parle de la joie parfaite veut donner cet enseignement, sous forme d’une parabole. Cf Fioretti, ch. 8 : si nous supportons toutes ces épreuves, patiemment et avec allégresse, en pensant aux souffrances du Christ béni, que nous devons supporter pour son amour, ô frère Léon, écris qu'en cela est la joie parfaite.
La joie qui naît de la certitude de l’amour de Dieu pour nous
et de la promesse du Salut. L’Esprit lui-même se joint à notre esprit pour attester que nous sommes enfants de Dieu. Enfants, donc héritiers ; héritiers de Dieu et cohéritiers du Christ, si toutefois nous souffrons avec lui pour être glorifiés avec lui. (Rm 8, 16).
Avoir l'Esprit Franciscain
La Fraternité
La Joie
La Minorité (Frères mineurs)
La Paix
La Pauvreté
La Prière
La gratuité
Les Créatures
Marie immaculée
Pour nous joindre :
7 rue Marie-Rose 75014 PARIS
téléphone : 01 40 52 12 70
télécopie : 01 40 52 12 90
accueil@franciscains-paris.org
La porterie est ouverte
de 8 h 45 à 11 h 45 et
de 14 h 30 à 18 h 30
(sauf le dimanche)
La chapelle est ouverte
de 7 h 30 à 12 h 30
de 14 h 45 à 19 h 30.
8 h : Laudes (dim. 8 h 45)
12 h : messe communautaire
18 h 30 : prière silencieuse
19 h : vêpres
DIMANCHE messe à 10 h 30
Descriptif
Salle Duns Scot
80 m2, jusqu'à 40 personnes. Une salle agréable, d'accès immédiat puisque située au rez-de-chaussée.
Petites salles de réunion
Egalement au rez-de-chaussée, 4 petites salles conviviales pour 4 à 8 personnes.
Salle Saint-Antoine de Padoue
de 100 à 300 m2, avec une scène (jusqu'à 200 places).
Une salle moderne, en sous-sol, avec une vaste scène, un rideau électrique. Une puissante sono, avec micros fixes et sans-fil. Connection internet haut-débit, vidéo-projecteur. L'éclairage permet de diviser la salle en différentes zones, et distingue la scène de la salle. Une salle donc spécialement adaptée aux conférences.
Réservations :
Toutes les réservations se font par écrit après accord du frère responsable,
pour tout contact : salles@franciscains-paris.org
Petites salles
Salle Duns Scot
Salle saint-Antoine