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L’un des premiers signes de la conversion de François, comme il le dira lui-même dans son Testament a été l’amour des exclus : les pauvres et les lépreux. Il a voulu les aimer comme il aimait et servait le Christ lui-même. Or, à cette époque, les lépreux étaient les grands exclus de la société civile, et même de l’Église. Ils étaient parqués à l’extérieur des villes, abandonnés à leur maladie, des enterrés vivants. Or, pour François, tout homme porte en lui-même l’image de Dieu Créateur, et en son humanité l’image même du Christ, Fils bien-aimé du Père. Dès lors, l’homme quel qu’il soit, ami ou ennemi, et quelque défiguré qu’il soit par la souffrance, la maladie, la misère, le péché ou la déchéance, mérite le plus grand respect et doit être l’objet de la charité fraternelle. Plus tard, le grand théologien franciscain, Bonaventure, maître de l’Université de Paris, affirmera que nul être humain n’a le pouvoir de faire disparaître en lui l’image divine, constitutive de sa personne. Il ne peut tout au plus que la voiler ou la nier. Le même Bonaventure, écrivant la vie de François lui met dans la bouche l’exhortation suivante : « quand tu vois un pauvre...c’est l’image du Seigneur et de sa pauvre Mère que tu as sous les yeux... En effet, en vrai Chrétien, François voyait en tous les pauvres la ressemblance du Christ...» (Leg. Maj.8,5)
François demandait aussi à ses frères de vivre volontiers “au milieu des pauvres” : «...Les frères doivent se réjouir quand ils se trouvent parmi les personnes viles et méprisées, les pauvres, les faibles, les infirmes et les mendiants des rues...» (1 Reg.).
Cette vie fraternelle avec tous doit d’abord être vécue au sein de la fraternité franciscaine : les Frères doivent se conduire entre eux comme les frères d’une même famille. Ainsi « Il voulait que règne l’union entre grands et petits, que savants et simples communient à la même fraternelle affection, que la puissance de l’amour rapproche ceux que séparait la distance...» (2 Cel. 191). Et dans la 1è Règle, il écrit : « Aucun frère n’aura, surtout sur ses compagnons, aucun pouvoir de domination. Comme dit le Seigneur dans l’Evangile, les princes des nations leur commandent et les grands des peuples exercent leur pouvoir ; il n’en sera pas de même entre les frères...(5, 12)... On ne donnera à aucun frère le titre de prieur, mais à tous indistinctement, celui de frères mineurs. Ils se laveront les pieds les uns aux autres...» (6, 3)
Enfin, tous les hommes doivent être abordés comme des frères ; riches ou pauvres, amis ou ennemis, bienfaiteurs ou bandits des grands chemins, chrétiens ou infidèles. (1 R 7, 13). Même par rapport aux prêtres pécheurs, souvent vilipendés par les mouvements évangéliques et plus ou moins révolutionnaires de ce temps, François quant à lui adopte une attitude de compassion et de miséricorde, et de plus il conserve la foi en l’action du Christ sacramentalisée par le ministère des prêtres. Les récits de la vie de François abondent sur ce thème de la rencontre bienveillante de quiconque. Cette fraternité sans exclusive s’est vérifiée concrètement dans la rencontre des infidèles, abordés eux-aussi comme des frères, avec courtoisie et respect.
La rencontre du Sultan
Dès 1217, François songe à partir pour la Terre Sainte, mais une première tentative a échoué. En 1219, il s’embarque à Ancône. Son premier projet est de participer à la 6è Croisade et d’y évangéliser les croisés. Mais, très vite il se rend compte que l’idée de Croisade, a été détournée vers le désir de domination, et les exactions des soldats francs le remplissent d’horreur. On avait déjà connu le détournement de la 4è Croisade qui avait débuté par la prise et le pillage de Constantinople (1204). François prend conscience de l’échec de l’idée de croisade et rêve d’une réconciliation avec l’Islam. Ne pouvant imaginer convertir les croisés à l’idée de la paix, il prend le parti de rencontrer le chef des musulmans d’Égypte pour lui parler de l’Évangile et l’inviter à faire la paix.
Nombreuses sont les sources historiques qui rendent compte de l’événement. Si invraisemblable a-t-il pu paraître, on ne peut le mettre en doute, car il est attesté par des sources indépendantes l’une de l’autre, et surtout par l’attestation du cardinal Jacques de Vitry, le légat pontifical en Terre-Sainte, présent sur les lieux, et par saint Bonaventure général de l’Ordre, qui en fait état dans plusieurs écrits universitaires et dit avoir interrogé un des compagnons de cette aventure. Il est intéressant de relever le témoignage de Jacques de Vitry : “...Le Maître de ces frères, qui est aussi le fondateur de l’Ordre, s’appelle François ; il est aimé de Dieu et vénéré par tous les hommes. Il était venu dans notre camp et, brûlant de zèle pour la foi, il n’eut pas peur de passer jusque dans le camp de nos ennemis. Pendant quelques jours, il prêcha aux Sarrasins la Parole de Dieu, mais avec peu de succès. Le Sultan cependant l’appela en particulier et lui demanda de prier le Seigneur pour lui, roi d’Egypte, afin que Dieu lui indique quelle religion il voulait lui voir embrasser...”(Lettre IV, 1220, ed. Huygens, pp.132-133)
(Lire l’autre citation de Jacques de Vitry, dans le Totum, p. 1327 “Il n’y a pas que les fidèles du Christ...ss”.) -Histoire de l’Orient, ch.32, (1223-24)(ed. Golubovitch, Bibliotheca, t.I, 8-10).
Sans doute, la personnalité du sultan Melek-el-Kamil, humaniste épris de paix et de rencontre des cultures était providentielle. Cependant cette rencontre connue et répercutée dans l’Ordre des Mineurs, a eu des retentissements considérables : il y avait donc d’autres solutions que la Croisade. On pouvait donc avoir avec les Sarrasins d’autres relations que guerrières. Le dialogue était possible, pourvu qu’on aborde les autres avec respect et amitié. Parallèlement à cette expérience, la Croisade des armes échouait lamentablement, surtout à cause de l’intransigeance et de la maladresse du cardinal Pélage. Les Papes en tirèrent des conclusions, jusqu’à ce que Innocent IV, en 1245, après le premier Concile de Lyon, invite officiellement les frères mineurs et les frères prêcheurs à rencontrer les responsables de l’Islam, en Afrique du Nord, en Syrie, en Egypte et en Turquie. Ce fut la première relance officielle de la mission, au XIIIe siècle.. On peut raisonnablement penser que la rencontre de François et du Sultan inaugurait un autre mode de relation des chrétiens avec les autres religions, fondé sur l’idée de fraternité humaine. Aujourd’hui encore, les Frères mineurs, présents dans de nombreux pays musulmans, se font les zélateurs du dialogue islamo-chrétien.
Si François manifestait une prédilection pour les pauvres, il invitait les frères à ne mépriser personne, pauvre ou riche, et lui-même fréquentait les uns et les autres sans complexe.
La fraternité “cosmique”
Pour François, la fraternité entre tous les hommes est fondée sur l’image de Dieu que chacun porte en lui-même et sur la fraternité de chacun avec le Christ, commun Sauveur de tous. Mais il existe aussi une fraternité plus large qui fait de l’homme un frère avec toutes les autres créatures, en raison d’une commune origine : l’amour créateur du Père. Ce n’est pas par esthétisme ou par simple expression poétique que François appelle frères et sœurs chacune des créatures et qu’il composa son “Cantique du Soleil”. Il jette sur le monde, sur l’univers, un regard de foi en Dieu-Créateur. Il voit dans la création la marque imprimée par son auteur ; il contemple la grandeur divine et la sagesse incréée dans l’univers qui l’entoure. Il pense, avec saint Augustin, mais aussi avec la tradition biblique, qu’il appartient à l’homme de prêter sa voix à la création matérielle pour que celle-ci loue Dieu, et de reconnaître dans les créatures, l’environnement de son retour à Dieu. Cette perception de la destinée “religieuse” du monde a beaucoup frappé ses contemporains qui ont vu en lui un “homme nouveau” (un nouvel Adam) dans une nature réconciliée, anticipant les cieux nouveaux et la terre nouvelle. Bref un prophète d’un nouvel âge. Les biographies écrites dans son entourage, dès le XIII° s. racontent abondamment les épisodes poétiques de son succès auprès des animaux : prédication aux oiseaux, aux poissons, au loup de Gubbio... La légende se mêle à l’histoire, car on ne prête qu’aux riches, mais il y a une telle unanimité dans ces récits qu’on ne peut ne pas les prendre au sérieux...en faisant cependant la part de la poésie et de l’hagiographie.
La théologie franciscaine postérieure développera une théologie des créatures en lien avec la doctrine de la Trinité-créatrice. C’est aussi pour ce respect pour la création que François est aujourd’hui vénéré par tous, et que le Pape l’a déclaré patron des écologistes, encore que sa conception du respect de la nature soit assez éloignée de celle de nos contemporains.
L'Annonce de la Paix
Il faut noter que cette annonce et ce désir de "faire la Paix" sont une conséquence de la volonté d'établir une fraternité universelle entre tous les hommes, qui trouvent leur fraternité dans le Christ-Sauveur, et entre toutes les créatures qui sont issues d'un unique amour créateur
L’un des premiers signes de la conversion de François, comme il le dira lui-même dans son Testament a été l’amour des exclus : les pauvres et les lépreux. Il a voulu les aimer comme il aimait et servait le Christ lui-même. Or, à cette époque, les lépreux étaient les grands exclus de la société civile, et même de l’Église. Ils étaient parqués à l’extérieur des villes, abandonnés à leur maladie, des enterrés vivants. Or, pour François, tout homme porte en lui-même l’image de Dieu Créateur, et en son humanité l’image même du Christ, Fils bien-aimé du Père. Dès lors, l’homme quel qu’il soit, ami ou ennemi, et quelque défiguré qu’il soit par la souffrance, la maladie, la misère, le péché ou la déchéance, mérite le plus grand respect et doit être l’objet de la charité fraternelle. Plus tard, le grand théologien franciscain, Bonaventure, maître de l’Université de Paris, affirmera que nul être humain n’a le pouvoir de faire disparaître en lui l’image divine, constitutive de sa personne. Il ne peut tout au plus que la voiler ou la nier. Le même Bonaventure, écrivant la vie de François lui met dans la bouche l’exhortation suivante : « quand tu vois un pauvre...c’est l’image du Seigneur et de sa pauvre Mère que tu as sous les yeux... En effet, en vrai Chrétien, François voyait en tous les pauvres la ressemblance du Christ...» (Leg. Maj.8,5)
François demandait aussi à ses frères de vivre volontiers “au milieu des pauvres” : «...Les frères doivent se réjouir quand ils se trouvent parmi les personnes viles et méprisées, les pauvres, les faibles, les infirmes et les mendiants des rues...» (1 Reg.).
Cette vie fraternelle avec tous doit d’abord être vécue au sein de la fraternité franciscaine : les Frères doivent se conduire entre eux comme les frères d’une même famille. Ainsi « Il voulait que règne l’union entre grands et petits, que savants et simples communient à la même fraternelle affection, que la puissance de l’amour rapproche ceux que séparait la distance...» (2 Cel. 191). Et dans la 1è Règle, il écrit : « Aucun frère n’aura, surtout sur ses compagnons, aucun pouvoir de domination. Comme dit le Seigneur dans l’Evangile, les princes des nations leur commandent et les grands des peuples exercent leur pouvoir ; il n’en sera pas de même entre les frères...(5, 12)... On ne donnera à aucun frère le titre de prieur, mais à tous indistinctement, celui de frères mineurs. Ils se laveront les pieds les uns aux autres...» (6, 3)
Enfin, tous les hommes doivent être abordés comme des frères ; riches ou pauvres, amis ou ennemis, bienfaiteurs ou bandits des grands chemins, chrétiens ou infidèles. (1 R 7, 13). Même par rapport aux prêtres pécheurs, souvent vilipendés par les mouvements évangéliques et plus ou moins révolutionnaires de ce temps, François quant à lui adopte une attitude de compassion et de miséricorde, et de plus il conserve la foi en l’action du Christ sacramentalisée par le ministère des prêtres. Les récits de la vie de François abondent sur ce thème de la rencontre bienveillante de quiconque. Cette fraternité sans exclusive s’est vérifiée concrètement dans la rencontre des infidèles, abordés eux-aussi comme des frères, avec courtoisie et respect.
La rencontre du Sultan
Dès 1217, François songe à partir pour la Terre Sainte, mais une première tentative a échoué. En 1219, il s’embarque à Ancône. Son premier projet est de participer à la 6è Croisade et d’y évangéliser les croisés. Mais, très vite il se rend compte que l’idée de Croisade, a été détournée vers le désir de domination, et les exactions des soldats francs le remplissent d’horreur. On avait déjà connu le détournement de la 4è Croisade qui avait débuté par la prise et le pillage de Constantinople (1204). François prend conscience de l’échec de l’idée de croisade et rêve d’une réconciliation avec l’Islam. Ne pouvant imaginer convertir les croisés à l’idée de la paix, il prend le parti de rencontrer le chef des musulmans d’Égypte pour lui parler de l’Évangile et l’inviter à faire la paix.
Nombreuses sont les sources historiques qui rendent compte de l’événement. Si invraisemblable a-t-il pu paraître, on ne peut le mettre en doute, car il est attesté par des sources indépendantes l’une de l’autre, et surtout par l’attestation du cardinal Jacques de Vitry, le légat pontifical en Terre-Sainte, présent sur les lieux, et par saint Bonaventure général de l’Ordre, qui en fait état dans plusieurs écrits universitaires et dit avoir interrogé un des compagnons de cette aventure. Il est intéressant de relever le témoignage de Jacques de Vitry : “...Le Maître de ces frères, qui est aussi le fondateur de l’Ordre, s’appelle François ; il est aimé de Dieu et vénéré par tous les hommes. Il était venu dans notre camp et, brûlant de zèle pour la foi, il n’eut pas peur de passer jusque dans le camp de nos ennemis. Pendant quelques jours, il prêcha aux Sarrasins la Parole de Dieu, mais avec peu de succès. Le Sultan cependant l’appela en particulier et lui demanda de prier le Seigneur pour lui, roi d’Egypte, afin que Dieu lui indique quelle religion il voulait lui voir embrasser...”(Lettre IV, 1220, ed. Huygens, pp.132-133)
(Lire l’autre citation de Jacques de Vitry, dans le Totum, p. 1327 “Il n’y a pas que les fidèles du Christ...ss”.) -Histoire de l’Orient, ch.32, (1223-24)(ed. Golubovitch, Bibliotheca, t.I, 8-10).
Sans doute, la personnalité du sultan Melek-el-Kamil, humaniste épris de paix et de rencontre des cultures était providentielle. Cependant cette rencontre connue et répercutée dans l’Ordre des Mineurs, a eu des retentissements considérables : il y avait donc d’autres solutions que la Croisade. On pouvait donc avoir avec les Sarrasins d’autres relations que guerrières. Le dialogue était possible, pourvu qu’on aborde les autres avec respect et amitié. Parallèlement à cette expérience, la Croisade des armes échouait lamentablement, surtout à cause de l’intransigeance et de la maladresse du cardinal Pélage. Les Papes en tirèrent des conclusions, jusqu’à ce que Innocent IV, en 1245, après le premier Concile de Lyon, invite officiellement les frères mineurs et les frères prêcheurs à rencontrer les responsables de l’Islam, en Afrique du Nord, en Syrie, en Egypte et en Turquie. Ce fut la première relance officielle de la mission, au XIIIe siècle.. On peut raisonnablement penser que la rencontre de François et du Sultan inaugurait un autre mode de relation des chrétiens avec les autres religions, fondé sur l’idée de fraternité humaine. Aujourd’hui encore, les Frères mineurs, présents dans de nombreux pays musulmans, se font les zélateurs du dialogue islamo-chrétien.
Si François manifestait une prédilection pour les pauvres, il invitait les frères à ne mépriser personne, pauvre ou riche, et lui-même fréquentait les uns et les autres sans complexe.
La fraternité “cosmique”
Pour François, la fraternité entre tous les hommes est fondée sur l’image de Dieu que chacun porte en lui-même et sur la fraternité de chacun avec le Christ, commun Sauveur de tous. Mais il existe aussi une fraternité plus large qui fait de l’homme un frère avec toutes les autres créatures, en raison d’une commune origine : l’amour créateur du Père. Ce n’est pas par esthétisme ou par simple expression poétique que François appelle frères et sœurs chacune des créatures et qu’il composa son “Cantique du Soleil”. Il jette sur le monde, sur l’univers, un regard de foi en Dieu-Créateur. Il voit dans la création la marque imprimée par son auteur ; il contemple la grandeur divine et la sagesse incréée dans l’univers qui l’entoure. Il pense, avec saint Augustin, mais aussi avec la tradition biblique, qu’il appartient à l’homme de prêter sa voix à la création matérielle pour que celle-ci loue Dieu, et de reconnaître dans les créatures, l’environnement de son retour à Dieu. Cette perception de la destinée “religieuse” du monde a beaucoup frappé ses contemporains qui ont vu en lui un “homme nouveau” (un nouvel Adam) dans une nature réconciliée, anticipant les cieux nouveaux et la terre nouvelle. Bref un prophète d’un nouvel âge. Les biographies écrites dans son entourage, dès le XIII° s. racontent abondamment les épisodes poétiques de son succès auprès des animaux : prédication aux oiseaux, aux poissons, au loup de Gubbio... La légende se mêle à l’histoire, car on ne prête qu’aux riches, mais il y a une telle unanimité dans ces récits qu’on ne peut ne pas les prendre au sérieux...en faisant cependant la part de la poésie et de l’hagiographie.
La théologie franciscaine postérieure développera une théologie des créatures en lien avec la doctrine de la Trinité-créatrice. C’est aussi pour ce respect pour la création que François est aujourd’hui vénéré par tous, et que le Pape l’a déclaré patron des écologistes, encore que sa conception du respect de la nature soit assez éloignée de celle de nos contemporains.
L'Annonce de la Paix
Il faut noter que cette annonce et ce désir de "faire la Paix" sont une conséquence de la volonté d'établir une fraternité universelle entre tous les hommes, qui trouvent leur fraternité dans le Christ-Sauveur, et entre toutes les créatures qui sont issues d'un unique amour créateur
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de 8 h 45 à 11 h 45 et
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(sauf le dimanche)
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de 7 h 30 à 12 h 30
de 14 h 45 à 19 h 30.
8 h : Laudes (dim. 8 h 45)
12 h : messe communautaire
18 h 30 : prière silencieuse
19 h : vêpres
DIMANCHE messe à 10 h 30
Descriptif
Salle Duns Scot
80 m2, jusqu'à 40 personnes. Une salle agréable, d'accès immédiat puisque située au rez-de-chaussée.
Petites salles de réunion
Egalement au rez-de-chaussée, 4 petites salles conviviales pour 4 à 8 personnes.
Salle Saint-Antoine de Padoue
de 100 à 300 m2, avec une scène (jusqu'à 200 places).
Une salle moderne, en sous-sol, avec une vaste scène, un rideau électrique. Une puissante sono, avec micros fixes et sans-fil. Connection internet haut-débit, vidéo-projecteur. L'éclairage permet de diviser la salle en différentes zones, et distingue la scène de la salle. Une salle donc spécialement adaptée aux conférences.
Réservations :
Toutes les réservations se font par écrit après accord du frère responsable,
pour tout contact : salles@franciscains-paris.org
Petites salles
Salle Duns Scot
Salle saint-Antoine